Auteur : BIDOT Maïté
magnifique le psaume pour les soignants ce sacro saint argent quels dégâts il engendre. Cela s’arrangera après l’épreuve ?

Auteur : Jean-Paul Pezet
Bonjour, je n’étais pas bien loin, moins d’une heure et d’un kilomètre!

Je m’en vais vous conter l’histoire d’une petite poule brune, ou plutôt celle d’un garçonnet d’à peine plus de deux ans, un jour de Pâques.
Ce bambin était de santé fragile, aussi sa maman l’emmenait-elle périodiquement chez son père, en bordure de Manche pour que l’air iodé lui redonne appétit. Il y avait aussi la soupe à Pépère que le petit affectionnait : de la bonne confiture maison.
Ce dimanche de Pâques, donc, Pépère dit à sa fillette, à peine plus âgée que son petit-fils, qu’il est temps d’aller à la chasse aux œufs dans la cour derrière la maison. La fillette prend par la main le garçonnet, vêtu de sa barboteuse blanche et chaussé de ses souliers blanchis au Meltonian ; et les voilà partis à la quête aux figurines de Pâques.
Le petit garçon trouve une petite poule brune, la loge au creux de ses deux mains, elle n’était pas bien grosse. Qu’elle était belle cette petite poule, toute brune comme celles de Pépère Cocotte, avec une crête rouge, quelques plumes blanches et un beau petit nœud bleu. Un peu surprenant ce nœud au cou d’une poule, mais le bambin est encore à un âge où on découvre le monde.
Il a léger sourire ému et des étincelles dans les yeux, le petit, à contempler cette poule au creux de ses mains. Oh, mais là au contact de la paume tiède, un peu de liquide est apparu ; le garçonnet trempe son index dans ce liquide, interroge sa maman du regard qui lui sourit. Il porte alors le doigt à sa bouche et là, son visage se transforme : yeux écarquillés de plaisir, grand sourire un peu chocolaté. Quelques coups de dents et quelques suçons plus tard, la petite poule brune a disparu ; il ne reste que le nœud bleu un peu taché de ses humeurs.

Vous comprenez maintenant pourquoi, ce garçonnet « sauvé » par la confiture et le chocolat, en parle si souvent quelques décennies après ce dimanche de Pâques.

Auteur : christine burnier
Les savoyards qui emigraient dans le valais, en Autriche, en prusse….dès le XVe siècle, ne partaient jamais sans faire leurs Pâques.
Alors joyeuses Pâques à tous.

Auteur : Serasset lucie
Merci à tous pour tous ces jolis messages !
Je passe de très bons moments avec vous tous. et en ce jour de Pâques c’est très réconfortant ! A tous je souhaite de très bonnes fêtes de Pâques et surtout prenez bien soin de vous pour que le jour de notre liberté nous soyons tous au rendez-vous ici bas !

Auteur : Nadine
Joyeuse Pâques à tous , les œufs ont trouvé leur place dans les pots de fleurs.. étrange.. ça sent bon le chocolat dans la maison ..les cloches sont toujours confinés, il parait qu’ elles vont bientôt sortir ..je les entend à 20 h ..elles se déchaînent dans un concert assourdissant. .. tous les confinés du quartier s’y mettent et ce soir on aura en plus le verre de l’ amitié . Modération ….

Auteur : Françoise M
En tout cas, on a bien raison de s’écouter et d’être gourmand 🙂 😉

Auteur : Jean-Paul Pezet
« Demain, nous chasserons les marchands du temple ». C’est le dernier vers de cette splendide prière que Jean nous a présentée.
Qui étaient-ils ces marchands du temple ? Avec leurs comparses les grands prêtres, il n’avait de cesse :
de persuader le peuple que son salut se trouvait dans la quantité d’offrandes, à l’entour de la Pâque, à celui dont on ne peut prononcer le nom,
de changer de bonnes espèces métalliques en monnaie virtuelle mais sanctifiée, n’ayant cours que dans un cercle très fermé, le leur (notons au passage les taxes et taux de change prohibitifs).
de vendre audit peuple, des marchandises inutiles à sa vie quotidienne, n’ayant pour but que de sacrifier au même Yahweh par l’entremise exclusive des grands prêtres. A noter également le montant insensé de ces articles.
d’exercer les deux dernières activités sans payer l’impôt à César.
Que sont-ils devenus, les uns et les autres ? Nul n’est besoin de chercher bien loin ; ils sont là, tapis dans l’ombre, près à reprendre leurs lucratives activités. Ils écrivent même un Talmud moderne nommé « La Tribune », « Challenges ». etc Ils ont régulièrement les antennes des média pour nous expliquer que la crise est grave, mais que si nous y mettons, nous, de la bonne volonté, des efforts et des sacrifices, eux vont s’en sortir.
On les retrouve, pour certains, dans l’article ci-dessous que je vous engage à parcourir. Ne surtout pas tout lire, c’est dangereux pour le système nerveux.
www.challenges.fr/entreprise/publicis-fdj-fiat-casino-face-la-crise-du-coronavirus-les-grandes-entreprises-se-mettent-en-ordre-de-bataille_705417
Vous verrez qu’il en est même qui sont capables de valoriser et de se refiler ce qui fait notre pain quotidien (Leader Price et Aldi)
On les a identifiés, on commence à voir leurs méthodes – puiser dans nos économies bien réelles pour chaque année, comme les marchands du temple et les grands prêtres, augmenter d’autant la valeur virtuelle de leurs avoirs ; nous faire acquérir des biens qui ne sont pas indispensables pour obtenir la bienveillance de celui dont on ne peut prononcer le nom : MFSC.
Ne cherchez pas ; ce tétragramme, inspiré de celui de Yahvé, signifie simplement : Monnaie (il ne fallait pas de voyelle), Finance, Spéculation, Croissance.
Demain, nous chasserons les marchands du temple ?

Auteur : janine
un coucou à tout le monde en ce jour de pâques bien particulier où chacun est calfeutré à la maison attendant des jours meilleurs. à l’époque ce fut un grand jour où nos ancêtres mettaient leur tenue du dimanche pour aller fièrement à la messe faire “leurs pâques”

Auteur : JOCELYNE
Un conseil pratico-pratrique:

DROITE OU GAUCHE:comment bien utiliser nos deux mains pour lutter contre le Covid 19

Une ancienne infirmière du travail, Violette S., nous donne une bonne technique pour avoir une main toujours propre et l’autre, une seule donc, potentiellement polluée

On ne sait pas tout du Covid-19 et les recherches font encore évoluer nos connaissances, mais une chose est certaine et n’a pas varié depuis le début de l’épidémie : les mains sont l’un des principaux vecteurs du virus. Rien donc ne remplacera un lavage strict et sérieux : c’est l’un des principaux gestes barrières contre la maladie. Autre moyen de prévention : éviter de vous toucher le visage. Mais nous sommes souvent embêtés avec nos deux mains. Qu’en faire? Que toucher avec quoi? Comment?
« Je me suis souvenue d’une technique utilisée pour faire un soin 100% stérile avec un seul gant stérile ; je l’ai adaptée au Covid-19. L’objectif est d’avoir une main toujours propre afin de n’en avoir qu’une seule, l’autre, potentiellement “polluée”, en contact donc avec des choses qui pourraient transmettre le virus. D’abord, je choisis la main avec laquelle je suis le plus habile pour faire les gestes “polluants” (droite si on est droitier, gauche si on est gaucher) : avec, je vais ouvrir les portes, appuyer sur les boutons , prendre les articles dans les rayons du supermarché, récupérer ma carte bleue ou ma monnaie, etc.
La main gauche m’est réservée et reste propre, elle me permet d’ajuster mes lunettes par exemple ou de me gratter le visage en cas de besoin (même si le mieux reste toujours d’éviter de se toucher)

BIEN ORGANISER SES POCHES
Et comment faire pour se moucher? “Dans ma poche gauche, je mets des mouchoirs jetables propres non emballés ; si besoin, je baisse mon masque avec la main gauche, je prends un mouchoir toujours avec cette même main et je me mouche ; ma main droite récupère ce mouchoir sans que mes doigts se touchent et je jette le mouchoir avec la main droite. Avec la main gauche, je repositionne le masque. Évidemment, l’idéal est de ne jamais toucher son visage ou son masque. Mais si on est obligés (en cas de nez qui coule par exemple), il vaut mieux le faire avec notre main “propre” afin de ne pas souiller le masque.”
Et voici un autre conseil pour bien organiser ses poches : “L’attestation avec laquelle je sors, je la mets dans une poche plastique et du côté verso j’y mets ma carte d’identité, comme ça personne ne la touche, et la poche plastique me permet de plier le tout sans rien déchirer. Lorsque je rentre à la maison, je nettoie le plastique avec du produit anti bactérien et je le laisse se reposer pendant 24 heures dans un coin avec les clefs.”
L’infirmière reconnaît que cette technique demande un peu de réflexion et de concentration au début mais que cela peut devenir une habitude utile. Et, au fait, quelle main offrir pour saluer un ami? Aucune évidemment, puisqu’il faut éviter tous les contacts.