Auteur : Jean-Paul Pezet
Christine et tout autre intéressé(e) par le Cornichon.
Le dé est un cube de 20cm d’arête gravé de 1 à 6 comme tout dé qui se respecte. Je ne sais pas ne quel bois c’était fait, mais j’ai des morceaux de fruitiers qui pourraient faire l’affaire.
Je vais en demander deux à notre artisan bénévole de La Ferme: un à la Ferme et l’autre aux Amis de Vouilloux?
Tu connais tout sur ce jeu semble-t-il, y compris la comptabilisation des points et leur transformation en boisson au bistrot du coin. C’est vrai que le caractère ambulatoire du jeu est intéressant.
Auteur : Françoise ANDRE
Pour Rose (en fait, j’avoue, je n’avais pas cherché …. )
🙂 😉 😀 :O 😛 (H) :S 🙁 :'( (A) (6) ^o) +o( <o) 😎
Ah, ils n’ont pas tous marché 😀
Auteur : Françoise M
Voilà, on s’y attendait, c’est reparti pour un mois. On a tenu un mois, on tiendra bien deux mois, hein.
Les randonneurs, après 2 mois à ce rythme, notre appareil locomoteur et notre système cardio vasculaire (bon, oui, c’est la préparation du BF 😀 ) seront programmés pour des randonnées d’une heure avec dénivelé de 100 ou 200 m. Ca va être dur de dépasser 😀
On va continuer comme ça,faire la sortie quotidienne, profiter des rencontres, fortuites, ou pas, des violettes dans le bois de Lévaud, des fraisiers en fleurs, toujours dans le bois, peut-être même qu’on pourra ramasser les fraises, si ce temps continue, enfin profiter de ces petits bonheurs en attendant de tous se retrouver.
“Il en faut peu pour être heureux
Vraiment très peu pour être heureux”…
Baloo, dans le livre de la jungle, désolée pour mes références très peu académiques. 😀 😀
Auteur : Jean
Je viens de mettre dans la rubrique “Textes et réflexions” un beau texte que m’a transmis Nadine, venant lui-même de Marie-Christine : “Être heureux”. Mais si, Nadine, ce texte est bien extrait d’une homélie du pape François prononcée le jeudi saint, mais en 2017. Merci de me l’avoir fait connaître.
Auteur : Danièle M
Coucou tout le monde.
Les cloches, en revenant de Rome, ont déversé sur mon verger paré de mille fleurs toute une ribambelle de figurines en chocolat. Une animalerie fantaisiste dont j’ai fait la cueillette avec délice. Mon panier en osier regorge d’œufs multicolores de toutes tailles, vides ou garnis, de poules dont certaines bien dodues couvent soigneusement leurs œufs dans des caissettes de paille, de poussins joyeux, de lapins et canards décorés de nœuds papillon, foulards à carreaux ou chapeaux, d’écureuils fourrés noisette ou pommes de pin, d’une vache tachetée aux mamelles remplies de chocolat blanc, de moutons et agneaux frisés, de divers poissons et petite friture au parfum trois chocolats, d’une tortue à la carapace caramel, d’un hérisson et de chouettes aux yeux en pâte d’amande.
Crise sanitaire oblige, le repas familial de Pâques, tant attendu, n’a pas eu lieu et me voilà seule à devoir déguster tout ce chocolat ! Impossible, la balance en perdrait ses chiffres et mon ventre déjà bien rebondi exploserait…
Une idée me vint à l’esprit. Et si je partageais toutes ces douceurs avec les amis de Vouilloux au moment de nos retrouvailles, dès la fin du confinement s’il survient avant l’hiver prochain… Qu’en pensez-vous ?
Je pourrais en distribuer :
– à toutes les Françoise et autres adhérents gourmands dont l’addiction a fortement augmenté pendant cette période anxiogène,
– à Nadine, afin qu’elle reprenne force et courage pour la reprise de la marche nordique,
– à mes voisins de St-Roch, Alice, Carole, Jean-Paul… malgré la guéguerre des temps passés pour les limites territoriales avec mes ancêtres les Copacaves,
– à Régine et M.Christine, qui m’ont gentiment fabriqué des masques en tissu,
– à Rose, euh non… j’ai appris qu’elle préférait les longs sucres d’orge (pourquoi longs d’ailleurs ?!…) joliment emballés et accrochés aux branches de buis,
– aux maîtresses, Françoise et Babeth, en échange d’un bon point et de quelques leçons de grammaire, d’orthographe, de chimie et de littérature,
– à Christine, en échange d’un cours de patrimoine sur les chocolats Suisse et Belge ou d’une excellente recette de gâteau,
– à Jean, en souvenir de son périple sur les chemins le menant à Saint-Jacques de Compostelle, lorsque certains jours il ne lui restait malheureusement que quelques carreaux au fond de son sac et un morceau de pain rassis pour se nourrir,
– à Elisabeth, pour lui rappeler les bienfaits de cet antidépresseur naturel l’ayant permis d’attendre le retour de son tendre époux,
– à Pierre, mais je pense qu’il n’acceptera pas, souhaitant de préférence garder la ligne pour plaire à ces dames et à sa discrète pigeonne Corona,
– à Loulou et Liline, pour agrémenter leurs jeux… (ou plutôt leurs ébats érotiques!) et succomber à la tentation,
– à tous les randonneurs, complètement accros à cette friandise qu’ils apprécient au moment particulier du pouce-café,
– et aux plus anciens, en espérant qu’ils ont bien respecté les mesures barrières et le confinement et qu’ils seront toujours tous présents parmi nous.
En fin de compte, vous êtes trop nombreux, alors je crois que je vais craquer et croquer cette gourmandise onctueuse avec amour et tendresse !
Bisous
PS : Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite.