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Classé dans (non catégorisé) par admin le 12-04-2020

 

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Auteur : BIDOT Maïté
la Balme vous poussez un peu avec vos critiques, on va finir par ne plus communiquer, n’est-ce pas vous qui n’arrivez pas à contrôler vos fantasmes ?Je fais du voyeurisme en parlant d’un samedi de l’aventure derrière le frigo, c’est moi la première qui est parlé de string je pensais mettre un message en réponse à Laurette mais il risque d’être mal interprété.Jean tu te plaignais qu’il y avait moins de messages je crains que cela s’aggrave.
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Auteur : pierre Patin
J’ai une nouvelle amie.
Tous les matins, elle survient à l’improviste. Après une parade qu’elle, seule peut produire, elle s’exhibe fière comme un paon. Parfois elle roucoule mais dans l’ensemble elle est discrète.
Souvent du coin de son œil un peu fripouille, elle guette pour savoir si je la contemple.
J’ai décidé de l’apprivoiser et de l’appeler Corona. C’est ma pigeonne.
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Auteur : Martine Boufflers
Tout à fait d’accord avec toi Maïté. Je pense que l’air des coteaux a un effet dévastateur sur la solitude de certain et d’autres.
Un peu de légèreté dans les propos n’est pas à exclure (je pense !) mais restons corrects. Cette boite à messages, ouverte à tous, doit d’abord être compréhensible pour et par tout le monde. (Un clin d’œil à Madeleine que je ne connais pas? peut-être de vue, et qui ne “pige” pas tout. Rassure-toi, moi non plus !!!)
Je ne suis pas moralisatrice mais je n’ai plus envie de lire cette rubrique, hormis si la correspondance reste d’un ton respectable, sans exclure la finesse et les bons mots.
Ceci n’est que mon avis perso, quitte à passer pour une rabat-joie. Qui partage mes réflexions ? La tribune est ouverte.
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Auteur : Jean-Paul Pezet
Jean-Paul Pezet reprend la main sur La Balme.
Désolé! Désolé que, au travers d’une lecture au premier niveau,certains aient vu dans ces quelques lignes critiques ou propos outranciers. J’avais simplement rédigé ces quelques mots dans l’esprit des échanges qui président régulièrement aux discussions lors des randonnées du jeudi.
Quant à reconnaître une duplicité, je l’ai fait il y a peu en rappelant un adage populaire: On ne peut prêter à autrui que ce que l’on possède soi-même.

Notre association s’appelle “les Amis de Vouilloux”; pour respecter le caractère amical, La Balme va cesser d’émettre. Que ceux qui se sont sentis offensés acceptent mes plus plates excuses.

Seul J.P.P. déposera quelques informations policées dans ce carnet.

 

Auteur : rose-marie
Histoire vraie et petit clin d’œil historique …

Je ne sais pas pour vous mesdames, mais en se qui me concerne, depuis qq temps, la nature garnie mon menton de qq poils disgracieux alors, ce matin …

munie d’un miroir grossissant, d’une pince à épiler, je m’installe dos au soleil devant ma fenêtre ouverte et je commence le travail.

En peu de temps, ça sens le roussi …

Le soleil sur le miroir, effet loupe et hop le feu à mes cheveux. Je lâche tout pour éteindre un début d’incendie.

Rassurez vous rien de comparable à l’incendie du 19 Avril 1840 jour de Pâques qui détruisit la ville de Sallanches …

Ah ah combien souffrir il faut pour essayer de rester belle 🙂 je vous embrasse 🙂

 

Auteur : BIDOT Maïté
En ce jour de vendredi saint certains(dont moi-même) semblent un peu nerveux jusqu’à Rose qui allait se transformer en Jeanne d’Arc.
Ces échanges doivent rester ludiques tout en restant dans le bon ton.
Effectivement lorsque nous remarcherons nous serons comme les vaches, le serre-file aura peut être besoin de l’accompagnement d’un chien de berger. Comme l’on dit à Lyon “cela vaudra son pesant de gratons”
on se refera la bise, dans le patois Lyonnais on dit “se faire péter la miaille”

 

Auteur : Jean

Je viens de mettre dans l’arbre un jeu proposé par Françoise M. pour faire travailler notre sens de l’orientation et notre mémoire visuelle. Belle initiative, merci !

J’ai rajouté également 2 nouveaux clins d’oeil de Bernard L. (Bactérix et Cie…) Il y a de bonnes trouvailles dans les dialogues.

Et plein d’autres clins d’œil, conseils et humeurs diverses dans vos envois, continuez !

 

 

Auteur : Françoise M
Rose 😀
Fais comme moi, ne regarde pas… 🙂
Bon, de par le fait, j’aurai peut être une barbe à la prochaine rando vu que c’est pas pour tout de suite.
Sinon, moi, je l’aime bien ce carnet, tel qu’il est, avec du sérieux, du moins sérieux, du rigolo, on a besoin de tout par les temps qui courent, de rire et de prendre la vie du bon côté aussi.
J’dis ça, j’dis rien…. 😀

 

Auteur : CHRISTINE BURNIER
Entendre chanter les petits oiseaux me rappelle mes ancêtres.
Les tailleurs de pierre qui travaillaient chez mon arrrière-grand-père, voir mon grand-père étaient ravis quand le printemps arrivait.
Dans les carrières, leurs boissons principales étaient l’eau, additionnée d’antésite acheté au litre au marché de Sallanches et le cidre.
Etant donné qu’ils avaient un salaire, ils pouvaient s’acheter des tonneaux de vin (feuillette).
Et au printemps, ils avaient remarqués que les oiseaux chantaient : “chopine, chopine”.
Alors écoutez, peut-être que vous aussi vous entendrez “chopine, chopine”.

 

Auteur : Babette
Moi j’entends “chocolat, chocolat” !

 

Auteur : JOCELYNE
les ami(e)s, faites chauffer vos neurones avec ce petit exercice!!!

Dans le texte, se cachent les noms de 28 écrivains de notre belle langue française. Saurez-vous les retrouver ?
Confiné, il racontait ce qu’il ferait une fois libre, d’ici un mois, dans ces eaux-là. Ce moment semble si dur à surmonter… mais les mots, lierre de la pensée, permettent de s’évader un moment, de laisser fuir des maux passants.
Près de la fontaine dont les flots bercent l’oreille distraite, des oiseaux volent, terre, et racines semblent endormis. Les oiseaux sont là, souverains, beaux, jeunes encore.
Une tribu goguenarde qui boit l’eau et la bénédiction du soleil qui couvre leur air novice.
Le rabot de l’air ne les épuise pas : ils n’en font cas, mus par la douceur du jour.
Mus, c’est le mot, mais sans le mouvement : ils se posent, l’arbre vert ne bouge presque pas.
Du mât naturel, ils regardent au loin, plus ou moins anges, peu ou prou statues.
Braves bêtes, la becquée te les rend grands mais où est le bec aujourd’hui ?
Le héros poursuit son chemin rêvé. Les ronces ardentes frôlent ses pieds.
Il avance, doucement, cherchant une aide, blonde, brune, rousse, au hasard.
Il a beau voir toute cette splendeur, il ne s’y trompe pas.
Il a beau marcher par l’esprit, il ne bouge pas en réalité pas.
C’est la force des poètes : se promener sans mouvement, sans de grands efforts.
Voir la vie en beau malgré tout, malgré les épreuves.
L’esprit est une gare : y passent mille idées qui s’enfuient et nous entraînent.
Toujours l’art a gonflé cette voile humaine, cette force : tenir bon, jusqu’au prochain voyage.

Je les ai trouvés
Bonne écoute!

 

Auteur : Nadine
J’ en ai trouvé 27… manque un et j’ ai un doute sur talleyrand

 

Auteur : christine burnier
Bavette, je crois que tu es une gourmande.

 

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