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Classé dans (non catégorisé) par admin le 05-04-2020

 

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Auteur : Françoise Montessuit
E-mail : f.montessuit@gmail.com
Dans quel monde vit-on? L’armée pour sécuriser des transports…. de masques !!!!!!
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Auteur : BIDOT Maïté
E-mail : marmot.74@free.fr
Oui Françoise dans quel monde vivons nous même en période où tout le monde doit être solidaire on voit le io-mio roi et ce n’est pas fini, ce sera pire quand tout sera revenu à la normal, l’homme a atteint un degré de pollution avec l’argent qu’il n’est plus un être humain, argent – domination il n’est pas nécessaire d’aller très loin pour s’en rendre compte, les personnes qui ne pensent qu’à elles, à leur fric et leur pouvoir vont elles changer ?
Je ne pensais pas au voyeurisme derrière un frigo, bien que je n’en sois pas une adepte je pense que des dunes sont d’un meilleur décor. Bon courage à tous
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Auteur : rose-marie
E-mail : rosemarie.marsura@gmail.com
Ce matin tempête de ciel bleu, avec OLGA, nous sommes parties au Grd St Bernard…

Tempête de ciel bleu. Depuis super St Bernard petite montée progressive jusqu’à la chapelle relais ou nous avons casse crouté en contemplant se fabuleux décor hivernal.

Encore un petit “coup de cul” dans la combe des morts jusqu’à l’hospice ou nous attendent bras ouverts et avec une tasse de thé bien chaude frère Frédéric, Raphael et l’oblate donc j’ai oublié le prénom.

Derrière l’hospice dans le ciel bleu se détache seule la statue de St. Bernard pointant du doigt la direction de l’hospice aux personnes perdues…

“ici le Christ est adoré et nourri”. C’est ce qui est écrit sur le mur intérieur de l’hospice. A méditer ….

Nous y retournerons même sous la pluie comme m’a dit OLGA tous ensemble cet été et l’hivers prochain 🙂

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Auteur : La Balme
E-mail : j.p.pezet@free.fr
Alleluia! Non pas de Grand St Bernard en vue. Simplement que j’ai fini de couper les bochons en bas de La Balme, en limite avec mon voisin et néanmoins cousin, j’ai nommé Philippe Pezet. Il a fallu que je mette un pied chez lui, presque un mètre à l’intérieur de ses terres, sans attestation. Je tremblais donc un tantinet dans mes brais, bien que je sois armé d’une goyarde et d’une scie à bûches. Philippe a tout de même lâché son chien. Mais Olya, non pas Olga!, me connaît trop bien; elle s’est mise sur le dos en remuant de la queue et j’ai été bon pour une séance de gratouilles. Ensuite, un peu de nettoyage dans le verger ouest: des épines, quelques branches mortes, un peu de gui, deux ou trois gourmands. Le reinette grise est tout propre; j’espère que le temps sera assez clément pour qu’il puisse m’en être reconnaissant.
C’était les dernières nouvelles de la cambrousse pour les citadins cloîtrés. Je pense à vous, enfin de temps en temps.
A bientôt.

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